Cette photo du carrefour de l'entrée ouest de Mons-en-Barœul, dit du Lion d'Or, date des années 1950. On voit au fond le château blanc connu aussi sous le nom de château Kaufman, avec au niveau de la flèche rouge l'entrée de la rue Emile Zola. Cette flèche a été tracé par Henri Chomette, l'architecte de la Zup de Mons-en-Barœul.
Un autre architecte est présent sur ce document, c'est Gabriel Pagnerre dont on voit à gauche la maison-atelier, au niveau du lampadaire. Celle-ci a été détruite lors des travaux de réalisation de la voie rapide, en 1982. Ce bâtiment datait de 1910 et avait servi d'atelier de bonneterie.
Une autre photographie de cette construction figure à la page 115 du livre Gabriel Pagnerre, architecte de notre ville.
C'était, sur Mons-en-Barœul, la seule réalisation de Gabriel Pagnerre, qui n'était pas une habitation. Il semble malheureusement que ce sont surtout les constructions publiques qui ont eu à pâtir des démolisseurs. Mais c'est principalement la ville d'Halluin qui a le plus supprimé les témoignages de cet architecte, avec la destruction du dispensaire d'hygiène sociale et l'école Jules Guesde.
Un autre architecte est présent sur ce document, c'est Gabriel Pagnerre dont on voit à gauche la maison-atelier, au niveau du lampadaire. Celle-ci a été détruite lors des travaux de réalisation de la voie rapide, en 1982. Ce bâtiment datait de 1910 et avait servi d'atelier de bonneterie.
Une autre photographie de cette construction figure à la page 115 du livre Gabriel Pagnerre, architecte de notre ville.
Cette construction est en partie visible sur une carte postale de 1925. On devine sur le trottoir de droite, juste derrière un personnage, une partie de l'arcade de cet atelier de bonneterie.
Cliché paru en page 349 de l'ouvrage " Le siècle de l'éclectisme ". La légende n° 338 figurant en page 340 précise qu'il s'agit d'une Maison-atelier situé au 261 rue du Faubourg de Roubaix, faubourg Saint-Maurice, Lille. Gabriel Pagnerre, architecte, circa 1910.
Le représentant le plus prolifique du courant géométrique fut sans conteste l'architecte et écrivain polémiste Gabriel Pagnerre qui édifia des rues entières dans les faubourgs entre 1905 et 1925.